La thématique de la chanson, lancée par la figure tutélaire et chauve (Jean Guibal, ancien directeur du musée), prend place en de nombreuses salles. D’étonnants pavillons musicaux distillent, dans un brouhaha inaudible, des chansons diverses et variées : de la cultissime « Un kilomètre à pied » à la plus identitaire « Marseillaise ».
Il suffit de se rapprocher d’un de ces pavillons pour discerner la beauté de chacun de ces chants. Cette expo, préparée depuis un an, nous fait découvrir un véritable appartement (chambre, salle à manger et garage compris).
Là, l’interactivité devient amusante avec le pommeau de douche permettant de s’essayer sur un karaoké, ou encore la table à manger où des verres transformés en enceinte diffusent des morceaux (pas forcément très happy) de Grand Corps Malade.
On pourra aussi se souvenir de ses jeunes années face à des pochettes de CD bien grenobloises de groupes confidentiels (comme Satan, et son artwork mortel où un ptérodactyle arrache le coeur d’un de ses copains dinosaures) aux plus connus (Sinsé, comme d’habitude).
Infos pratiques
Si on chantait la la la la – Musée dauphinois.
Jusqu’au 2 janvier 2018.
30 Rue Maurice Gignoux à Grenoble.
Toute la semaine (sauf Mardi) de 10h à 18h.
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