GOÛT DU RISQUE / Comme le précisent les témoins de notre reportage, avec les réseaux sociaux, la quête d’une certaine reconnaissance ou d’une notoriété conduisent à des dérives voire à des drames.
Sous-couvert du mot urbex, de nombreuses personnes se sont mises à arpenter des points de plus en plus dangereux afin de ramener des clichés spectaculaires. Une pratique qui ressemble plus à du parkour ou à de l’urban climbing (escalade urbaine), des activités interdites, mais pas à de l’urbex comme le soulignent les urbexers aguerris.
Ce genre de dérive a malheureusement conduit au décès de deux Lyonnais en 2017. En janvier, Maxime, un jeune photographe de 18 ans est décédé sur le pont de la Mulatière après avoir été percuté par un train. Puis, en avril, c’est une jeune femme de 20 ans a perdu la vie après une chute du côté de l’ancienne centrale thermique de la Doua.
Crédits photo : Von_Allard
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